Pas D’inquiétude Concernant La 5G

  • Pour la protection de notre santé, une société décente et la préservation du climat
  • Caméra arrière : 48MP, 13MP, 48MP
  • Huawei Mate X20
  • La 5G pour fournir du débit
  • Efficacité énergétique du réseau
  • Qu’est-ce que c’est, la 5G

5g Voitures autonomes, internet des objets, maisons connectées… De mauvaises langues sur internet prétendent que les graves détresses respiratoires ressenties par de nombreux malades sont provoquées par les rayonnements 5G plutôt que par le nouveau coronavirus. Il n’existe donc aucun rapport entre la 5G et le coronavirus. Selon la BBC, Matt Pottinger, lui, serait venu, ce lundi 13 janvier, avec un nouveau rapport accablant pour Huawei dans ses bagages, qu’il n’a pour le moment partagé qu’avec ses homologues britanniques. Son argument principal : les pays qui le banniront de leur territoire prendront du retard dans le déploiement des réseaux 5G par rapport aux autres, et cela nuira fortement à leur économie. 5G en France : le ministre Bruno Le Maire défend son déploiement sans « retard » Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a défendu lundi le déploiement de la 5G en France, estimant que ce serait « une erreur dramatique » de ne pas le faire, au lendemain de la demande de moratoire de 70 élus de gauche et écologiste.

5g Un argument que Huawei n’est pas le seul à brandir : le GSMA, qui regroupe plus de 800 acteurs des télécommunications, a estimé que si les pays européens décidaient d’interdire tout contrat avec Huawei, le déploiement de la 5G leur coûterait 55 milliards d’euros supplémentaires et leur retard sur les Etats-Unis pourrait s’aggraver de 18 mois supplémentaires. Mais Huawei n’a pas dit son dernier mot. Il ne s’agit donc pas non plus d’une arme de destruction massive échappée d’un laboratoire, comme le suggèrent certains messages. Après avoir dénoncé la partialité des rapports à sa charge, le géant chinois leur en oppose d’autres, plus à son avantage. Après un grand oui à Huawei en octobre 2019, l’Allemagne, de son côté, a fait marche arrière à peine un mois plus tard en réclamant un « test de fiabilité » pour s’assurer que l’équipementier ne l’espionne pas. Si Huawei conserve sa deuxième place dans le nombre de déploiements 5G dans le monde, avec 65 contrats commerciaux signés jusqu’à présent, l’année 2020 devrait être « plus difficile », a admis Eric Xu, l’un des trois PDG tournants du groupe, dans Les Echos.

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Néanmoins, cette loi est fortement critiquée, jugée trop floue et redondante avec la législation en place. D’ores et déjà fournisseur attitré de trois opérateurs sud-coréens – l’un des seuls pays à jouir d’une couverture 5G nationale complète – il pourrait bien se faire une place au Canada et aux Etats-Unis, annonçait Siècle Digital en décembre dernier. Ce lundi 13 janvier, une délégation envoyée à Londres par le président américain Donald Trump s’active pour convaincre les autorités britanniques de bannir l’équipementier télécoms chinois Huawei de ses réseaux 5G. Au sein de ce groupe d’officiels, des représentants de la National Security Agency (NSA) mais aussi Chris Ford, secrétaire adjoint au sein du ministère américain des Affaires étrangères, Robert Blair, l’envoyé spécial en charge des télécommunications et, surtout, Matt Pottinger, l’un des principaux conseillers de Trump en matière de sécurité. Mais, choisi par Vodafone Hutchinson, l’un des quatre opérateurs australiens – en passe d’en racheter un autre, TPG – et par Free, en France, pour « des raisons d’indépendance stratégique », il pourrait bien damer le pion à Huawei.

« Il y a de forts soupçons que cette étude ait été appuyée par les Etats-Unis », souligne un chercheur français en sécurité numérique connu sous le nom de SwitHak, pour qui Huawei a toutefois « fait preuve de mauvaises pratiques dans le développement de ses logiciels ». Si Ben Wallace, le ministre britannique de la Défense, a confié au Sunday Times, le 12 janvier, à la veille de la venue de la délégation américaine à Londres, que les menaces de Washington l’« empêchaient de dormir », le patron de l’agence de renseignement intérieur britannique (MI5), Andrew Parker, estimait le même jour, dans les colonnes du Financial Times, qu’il n’y avait « pas de raison » de prendre au sérieux ces menaces. En somme, les quatre opérateurs – Vodafone, EE (BT – ex British Telecom), Three et O2 (Telefonica) – pourront déployer des antennes radio (RAN) Huawei mais pas ses logiciels de gestion du réseau 5G. Insuffisant pour les Etats-Unis, qui menacent même le Royaume-Uni, membre des Five Eyes (réseau de services secrets comprenant ces deux pays ainsi que le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande), de cesser de partager du renseignement.

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Par ailleurs, le pays n’est pas aussi avancé que ses voisins britannique et allemand puisqu’il vient tout juste d’officialiser la première procédure d’attribution des fréquences 5G. Trois des quatre opérateurs, SFR, Bouygues Telecom et Orange, auraient déjà demandé à l’Agence française de sécurité des systèmes d’information (Anssi) le droit d’utiliser des équipements Huawei. La France, elle, n’a pour le moment pas interdit Huawei. Donald Trump aurait voulu que tous ses alliés lui emboitent le pas et chassent à leur tour Huawei. Absolument pas! Les réseaux 5G se servent d’ondes radio, tout comme les réseaux 2, 3 et 4G, la radio et la télé. L’Italie et l’Inde ont d’ores et déjà affirmé qu’elles collaboreraient avec l’équipementier chinois pour déployer des réseaux 5G. Le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne, eux, sont en plein doute. Avec eux, le gouvernement est désormais suspendu à l’évaluation de l’autorité nationale de cybersécurité pour savoir si, oui ou non, Huawei pourra vendre ses architectures réseaux 5G en France. Comptant parmi les partenaires majeurs des Etats-Unis, le premier a décidé, en avril dernier sous le gouvernement de Theresa May, qu’il acceptait Huawei mais seulement pour fournir des équipements qui ne relèvent pas du cœur 5G, la partie de l’architecture réseau la plus stratégique.

Ce ne fut pas le cas, loin de là. Pire encore, le virus n’existerait même pas. Ils ont ainsi pu démontrer que le virus a muté de façon naturelle et qu’il est impossible de le produire en laboratoire. Des chercheurs sont parvenus à isoler son matériel génétique avant de le comparer avec d’autres de la même famille des coronavirus, comme les virus SARS et MERS datant d’il y a quelques années. Le nouveau coronavirus, baptisé SARS-CoV-2, existe bel et bien. Ses concurrents directs, le suédois Ericsson et le finlandais Nokia, pourraient bien tirer leur épingle du jeu. Qui pourrait tirer son épingle du jeu ? La 5G : un avis du Conseil Supérieur de la Santé dans la tourmente La 5G a commencé son déploiement en Belgique en avril dernier. Moratoire de Lille sur la 5G : une « tartufferie incompréhensible » pour le secrétaire d’Etat au numérique Le moratoire voté par la ville de Lille sur le déploiement de la 5G est une « tartufferie incompréhensible » venant d’une ancienne ministre, Martine Aubry, estime dimanche le secrétaire d’Etat au numérique, Cédric O, dans le Parisien. En attendant une décision définitive du gouvernement allemand, l’opérateur Deutsche Telekom a décidé, début décembre, de mettre ses projets de déploiement de la 5G en pause.

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Ce que montre une autre étude, publiée en mars 2019 par le gouvernement britannique. La téléphonie mobile n’existe, par contre, pas depuis suffisamment longtemps pour se prononcer à long terme, environ 50 à 60 ans. Cette fois-ci, il n’est pas question de Brexit mais de Huawei. Il ne servirait qu’à dissimuler les dommages causés par la 5G. Ce n’est pas tout. Présent dans de nombreux pays au côté de Nokia, il a par exemple été choisi comme seul fournisseur par Telenor, le premier opérateur norvégien, ou encore par l’opérateur du Groenland Tele Greenland. Nokia, lui, reste troisième, avec 63 contrats commerciaux et 18 réseaux 5G opérationnels dans le monde. Dans leur ensembe, elles mènent à la conclusion qu’à court et moyen termes, il n’existe aucune preuve que le rayonnement des téléphones mobiles ou des pylônes aurait des effets sur la santé comme le cancer, des troubles du sommeil, la stérilité ou autres.

Découvrez dans notre dossier en ligne comment reconnaître les fake news. Ce qui exclut également une hypothétique détresse respiratoire. Ces rayonnements empêcheraient l’oxygène de se fixer à l’hémoglobine de nos globules rouges, provoquant une détresse respiratoire. De très nombreuses études scientifiques ont été réalisées au cours de ces vingt dernières années sur les possibles effets de ce type de rayonnements sur la santé. Cela nécessiterait des études supplémentaires. ’oppose au lancement de la 5e génération de téléphonie mobile, a lancé vendredi une pétition demandant l’audition d’un expert indépendant en séance publique du parlement de Wallonie. Trump, affirme une étude Le président américain Donald Trump a très probablement été à lui seul le facteur ayant le plus engendré de désinformation sur le Covid-19 pendant la pandémie, selon une étude publiée jeudi de l’université Cornell. A ce jour, selon l’entreprise américaine Ookla les Etats-Unis peuvent se targuer d’avoir plus de 5 000 réseaux 5G à leurs actifs, loin devant la Suisse (522), le Royaume-Uni (109) et l’Allemagne (26). Les prochains mois seront décisifs. Même aux plus hautes sphères de l’Etat britannique, la situation semble loin d’être claire.

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